Bienvenue dans l’ère post-digitale ! Bienvenue dans une époque où la transformation (digitale) n’est plus un élément différenciant pour votre activité, puisque l’ensemble de vos parties prenantes – prospects, partenaires, salariés, clients et clients de vos clients – la considèrent comme acquise…
Dans la grande majorité des entreprises cependant, cette transformation est seulement en cours. Elle est loin d’être effective ou aboutie. Et même quand l’entreprise l’a maîtrisée, ce n’est que pour se rendre compte qu’elle est encore au milieu du gué, car un nouvel impératif se dresse déjà devant elle, celui de la data.
C’est là toute la difficulté. À peine la digitalisation des parcours client, de la supply chain, des documents administratifs, des façons de travailler et des manières de penser est-elle intégrée, qu’un nouveau défi s’annonce déjà sur la route des organisations, celui des données justement générées par cette digitalisation.
A peine les équipes se sont-elles habituées au Chief Digital Officer, qu’entre en scène un autre CDO, le Chief Data Officer. Ce dernier est chargé de structurer, de domestiquer, d’organiser les données qu’a fait émerger le premier. D’un CDO à l’autre, c’est une révolution qui s’annonce, qui s’appuie sur une idée pourtant simple : la data fait partie intégrante du patrimoine de l’entreprise.
La data est un actif comme les autres, qui mérite d’être recensé, protégé et valorisé. Un actif comme les autres, quoiqu’un peu plus essentiel pour survivre aux risques de disruption qui surgissent de toutes parts. La clé ? Une gouvernance dédiée, ad’hoc pour – enfin – tirer tout le potentiel de votre capital informationnel. La révolution des organisations « data driven » a démarré et c’est une bonne nouvelle !